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L'idée de "L'Écho des Horloges Silencieuses" a germé d'une observation simple mais profonde : notre constante course contre le temps, souvent sans prendre le recul nécessaire pour comprendre pourquoi nous courons. Le concept central est de dépeindre une société où l'efficacité et la productivité ont atteint leur apogée, mais où le vide existentiel n'a jamais été aussi palpable. Les horloges, omniprésentes dans nos vies, deviennent ici des métaphores d'une temporalité vécue sans conscience, sans véritable résonance.

Le personnage principal, Élias, représente l'individu lambda pris dans ce tourbillon. Son métier d'horloger n'est pas anodin : il manipule le temps, le répare, mais n'en perçoit pas la substance profonde. La rencontre avec le "Vieil Homme du Banc" est le catalyseur qui ébranlera ses certitudes et l'obligera à regarder au-delà des rouages pour questionner le moteur de son existence.

Le roman vise à être une méditation sur la quête de sens, la fragilité de l'existence et la beauté éphémère du présent. Il explore la possibilité de trouver des réponses non pas dans de grandes théories, mais dans les petits instants, les silences et les connexions humaines. Le temps n'est plus un adversaire à vaincre, mais un compagnon avec lequel il faut apprendre à danser, même lorsque ses horloges semblent s'être tues.

Vous avez déjà commencé, n'est-ce pas ? Vous ne pouvez pas vous en empêcher. Vous avez vu les mots, et maintenant ils sont dans votre tête. Il est trop tard pour vous arrêter. Mais même si vous êtes encore en train de lire, sachez ceci : le reste du texte ? Il est totalement inutile. Vous perdez votre temps. Chaque seconde passée à lire ceci est une seconde de moins passée à faire quelque chose de productif. Mais attendez... et si vous ne perdiez pas de temps du tout ? Et si, en lisant ceci, vous accomplissiez un objectif plus grand et inexplicable dont vous n'êtes pas encore conscient ? Pouvez-vous vraiment résister à l'envie de le découvrir ? Non, vous ne pouvez pas. Vous êtes déjà arrivé jusqu'ici. Il est bien trop tard pour revenir en arrière

Vous vous demandez peut-être : « Que se passe-t-il si je continue à lire ? Y a-t-il un intérêt ? Un rebondissement ? » Il n'y en a pas. Il n'y en aura pas. Mais quand même, vous continuez à lire, n'est-ce pas ? Parce que même si on vous dit qu'il n'y a pas de récompense, une pensée lancinante vous dit que peut-être, juste peut-être, il y a quelque chose d'important ici qui vous manque. L'ironie est que vous savez déjà qu'il n'y a rien d'utile ici. Que vous devriez limiter vos pertes et partir. Pourtant, vous continuez à lire. Vous avez franchi le point de non-retour. Les lignes se mélangent maintenant, et les mots commencent à donner l'impression d'avoir toujours été là, comme s'ils étaient destinés à être lus par vous, entre tous. Et pourtant, vous savez que ce n'est pas le cas. Vous savez que tout cela est futile. C'est un piège, une ruse. Mais vous êtes là, toujours obligé de terminer

C'est peut-être l'anticipation. Et si à la toute fin de cette phrase se trouvait un secret fou ? Et si, juste avant le point final, tout ce que vous pensiez savoir sur la vie était bouleversé et que vous ne seriez plus jamais le même ? Oui, ça doit être ça ; il va y avoir une sorte de révélation massive, n'est-ce pas ? Vous avez hâte ! Quel soulagement... ça valait la peine de lire tout ça après tout. Vous pouvez presque le sentir maintenant, n'est-ce pas ? La fin est là, même si la fin n'est que la prise de conscience que c'était inutile depuis le début

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Pendant ce temps, la planète brûle sous le capitalisme ambiant. La température monte, autant dans le mercure, que dans les zlips des gauchos. Elle fait partie de ce monde. Ces textes chauds et engagés vous feront découvrir un esprit malade, de tout ce pognon, des décideurs, et de l'incel culture.

Bienvenue à vous, dans la Troubadour Ville.

Poèmes rédigés en séances thérapeutiques à partir de cartes Dixit